Il était une fois une oie avec un trouble de la personnalité et qui se prenait pour un canard. Du coup, comme on est un forum très inclusif on va l'appeler Itwalacapula, puisque sa patrie d'origine est l'Italie. Car Itwalacapula, c'est de l'italien, qui veut dire Schizophrène. Et la maladie mentale, c'est caca pour celui qui en est atteint, vous voyez? Alors un jour, cette oie fit la découverte des homoncules, ce qui est toujours très utile pour un canard parce que, franchement, qui n'aime pas tomber face à face avec un homoncule, par beau jour de mois de mai, hein? Je me le demande! En tout cas, en ce qui concernait Itwalacapula, c'était évident que ce n'était pas une réelle corvée. Alors, progressant de sa démarche clopinant, l'oie se pavanait la tête haute, tel un cygne gracieux. Tous ces noms d'oiseaux commençant à être confus, il est tout de même heureux qu'elle ne se prenne pas pour un autre animal, car sinon elle pourrait se prendre pour un poisson et se noyer stupidement ou encore courir derrière un chat qui l'attaquerait et mourir, mettant ainsi fin prématurément à notre histoire, ce qui serait dommage vu son grand intérêt.

Donc, notre oie-canard survivra pour l'instant, du moins tant qu'on en décidera ainsi, car l'heure n'est pas encore venue de la faire rôtir! Donc notre oie rencontra soudainement une licorne rose à paillettes qui s'appelait Thelma. Thelma, en voyant notre oie, s'exclama : Oh, mais tu ressembles beaucoup à un ornithorynque! Il faut dire qu'elle était myope et un peu bête car tout le monde sait que les ornithorynque ne savent pas voler. Raison pour laquelle notre oie commença à cancaner comme un canard, histoire de se payer la tête de cette myope licorne jusqu'au bout! Cette dernière, d'ailleurs, n'était pas une simple licorne semi-aveugle! Elle était également une extraordinaire danseuse de ballet, reconnue mondialement. Kiki la tourbillonneuse, qu'on la surnommait! Lorsqu'elle se mettait à danser, elle tournait, tournait, tournait, puis cela déclenchait une tempête phénoménale qui détruisait tout sur son passage. Parce que, somme toute, malgré ses airs de rien, Kiki la tourbillonneuse était une véritable créature dangereuse. Est-ce que l'oie-canard s'en doutait? Il n'y avait plus une minute à perdre, il fallait se mettre à l'abri avant que la licorne-tempête ne décide de batifoler au gré du vent et tout détruire sur son passage!

L'oie-canard prit son courage à deux mains et déguerpit aussitôt, ne s'envolant pas à tire d'ailes car en réalité, une de ses ailes est plus courte que l'autre, ce qui implique donc un grave déséquilibre la faisant tourner sans cesse en rond. Heureusement, la licorne-tempête, qui tournait dans l'autre sens, parvint à couper le cyclone qu'aurait fini par créer Itwalacapula à force de tourner de la sorte... Profitant de la confusion très confusante du moment, l'oie-canard qui ne savait plus trop où elle en était (à l'instar de la personne qui écrit ces lignes, en fait...) se jeta dans une marre tout près et y enfonça sa tête Sauf que c'était une marre d'acide formique, c'est à dire une mare tout plein de fourmis mortes, et l'oie-canard était terriblement allergique aux fourmis, donc sa tête se mit à gonfler, gonfler, si bien que son corps ne pouvait plus en supporter le poids et que la tête explosa. Heureusement, chez les oies-canards, la cervelle est si petite que ça fait peu de dégâts, lui permettant ainsi de pouvoir galoper dans les parages et ce, malgré l'absence de ce renflement cérébral d'ordinaire si nécessaire à la vie. Pendant ce temps, Kiki la tourbillonneuse dansait toujours, semant la destruction dans un espace heureusement limité, puisqu'elle tournait sur elle-même, ce qui limita la portée de la projection des morceaux de cranes d'Itwalacapula. D'autant plus que ces morceaux étaient finalement plutôt mous, et ressemblaient vaguement à de la gelée de fraises.

Toujours est-il que cette histoire tourne de façon totalement inattendue et un brin violente, bien qu'appétissante avec cette histoire de gelée de fraise, et qu'il est plus que temps qu'on y ajoute des personnages. Par exemple un mouton à cinq pattes, qui lâche un pet en passant par là, ce qui est très classe et producteur de méthane, et totalement inutile à l'histoire puisqu'il partit aussitôt pour laisser la place à un mouton à trois pattes. C'est celui qui s'était fait voler sa quatrième patte par le mouton avare à cinq pattes, raison pour laquelle celui-ci le poursuivait et quitta donc notre histoire aussi vite qu'il était arrivé. Ce qui implique qu'il nous faut encore un nouveau larron, parce qu'une licorne qui tourne et une oie sans tête ça manque d'idées, ce qui nous pousserait à choisir quelque chose qui peut être inspirant, comme par exemple un dé à 21 faces, vu que ça n'existe pas vraiment, et que ce n'est pas vraiment un personnage non plus. En même temps si en plus on est difficile dans le délire, ça ne finira plus comme situation, alors aussi bien continuer sur un truc sans queue ni tête, vu que de toute façon le but est juste de gagner des gallions, mais ça serait bien si on était plus à participer, histoire de faire de la variété, comme introduire un nouveau PERSONNAGE que n'importe qui d'autre que moi peut proposer bien sûr, parce qu'on sait bien que les GRYFFONDOR manquent d'imagination, la preuve étant que les Serpentard ont proposé plein de personnages mais qui ne plaisent pas, parce qu'ils sont nuls. Et qu'ils ne savent pas respecter les règles du jeu, visiblement, heureusement qu'il y a toujours une Poufsouffle pour les reprendre, ces verts! Même si je ne vois pas du tout de quoi tu parles, et on va donc passer à autre chose.

Une fée, qui passait par là, se mit à tourbillonner sur elle-même, mais dans le sens inverse de Kiki, ce qui commença à provoquer un courant d'air violent, qui contra la violence de celui de la licorne myope provoquant de fait un début d'ouragan, qui fit disparaître les restants de morceaux d'oie-canard. La voie ainsi libérée, une licorne apparue, et envoya paître Kiki la tourbillonneuse, car cette dernière était connue pour être une conne, au sein de la communauté licornesque. Furax, cette dernière licorne fit un doigt d'honneur, ce qui manque grandement de politesse et de savoir vivre, tant et si bien que l'escouade anti-méchanceté débarqua immédiatement sur les lieux du crime. Une fois embarquée, il ne nous restait plus qu'à parler de la météo d'aujourd'hui, bien entendu, Aujourd'hui le temps tourne à l'orage après une longue semaine de soleil et de chaleur et désormais il y a une alternance de soleil et d'orage, et on s'en va où en fait avec tout ça? Sans doute vers le prochain bulletin de fin d'année de l'école des licornes, qui permet de déterminer quelle couleur elles ont obtenu à leur évaluation des arc-en-ciel du bonheur. Ce qui est important, sauf que le nuancier fait que l'évaluateur, étant en plus daltonien et, surtout, se moquant éperdument de ce système de notation incompréhensible et inutilisable tout ce beau monde s'est en allé vers le monde magique des licornes. Ce qui fait que l'on se retrouve à nouveau à devoir inventer, mais un décor plutôt que des personnages, puisqu'on monte vers le ciel sauf qu'il contient rien de spécial le ciel, et du coup tout le monde s'est mit à tomber vers le sol, déçus de ne pas trouver le monde magique. En même temps tout le monde sait bien que les licornes volent, donc la chute était plutôt une sorte de vol plané, du moins dans la zone qui contenait de l'air, car elles survolèrent bientôt un volcan en irruption, où l'air était irrespirable.

Heureusement, du fait de la poussée montante de l'air chaud, elles purent s'envoler plus haut, et heurter un avion en plein vol, ce qui le déstabilisa et le fit piquer droit vers le sol, plongeant directement vers l'océan, où une horde de requins les attendaient, gueule ouverte, mais seulement parce qu'ils étaient étonnés de voir de telles choses retomber vers l'océan, et comme c'étaient des requins véganes, ils ne voulaient pas les manger. Toutefois, les licornes allaient tout de même finir par tomber au niveau de l'eau, et si les requins ne les attrapèrent pas pour les bouffer, les piranhas, eux, n'allaient pas non plus s'attaquer aux licornes contrairement à la légende urbaine, et c'était donc la mort par noyade qui attendait les créatures magiques. Sauf qu'étrangement, quand elles tombèrent dans l'eau, des sortes de bulles-casques apparurent autour de leurs têtes, et cela leur permis de flotter, et même de s'envoler à nouveau, défiant la gravité.

S'envoyant à nouveau en l'air, les licornes se mirent à s'entrechoquer les unes aux autres, n'ayant aucun contrôle sur leur vol, ce qui n'était pas si grave puisqu'il s'agissait d'une des manières possibles pour elles de s'entretuer à coups de cornes dans les flans. Mais ce n'était pas grave, car de toute façon elles ne pouvaient pas vraiment mourir, seulement se vider de leur sang dans d'atroces souffrances et de très nombreux arc-en-ciel, ce qui expliquait que le ciel se rempli de multiples couleurs, qui aveuglèrent tous ceux qui le regardait. C'est pourquoi Dindon le phoque, qui était aveugle, se retrouva avec plusieurs amis non-voyants, contre lesquels il ne cessait de se butter stupidement, parce que c'était leur façon de se saluer, vu qu'ils se percevaient entre eux avec d'autre sens. Dindon fit donc la connaissance de Fromage, la souris, qui se percevait par un autre sens que le toucher, à savoir l'odorat, car son nom n'est pas lié au régime alimentaire, mais bien au parfum de ses pieds. Ce qui était encore plus fort puisque ses chaussettes aussi étaient remplies de moisissures, ce qui était un matelas confortable, toutefois rempli de bestioles dégoûtantes. Bestioles qui attirait en revanche les poissons, et surtout les piranhas, qui feraient bientôt un buffet avec les bestioles, puisqu'ils doivent bien manger eux aussi, comme n'importe quel poisson. L'eau se colora bientôt du sang de leurs victimes, ce qui étant blanc/verdâtre, passa inaperçu, et du coup se carnage sombra dans l'oubli.

Ce qui nous entraina donc à recommencer, dans un tout autre lieu, voire un autre monde, pourquoi pas, histoire de pouvoir y incorporer toutes sortes de créatures bizarres et loufoques, comme une chèvre de 15 centimètres, avec 27 pattes et 7 yeux, qui sait danser la gigue et la Marioca, tout en sifflant un air de Noël. Bien sûr, cela implique que Noël existe aussi dans son monde, impliquant donc que quelqu'un a un jour traversé les univers pour partager notre culture aux chèvres de 15 centimètres. Ce qui explique l'existence de ce warp sans queue ni tête, comme tout le reste de notre histoire, mais n'est ce pas le but ? Du coup, tant qu'à être absurde, précisons que notre chèvre qui provient d'une autre dimension était la Reine de son territoire, menant de patte de maître tous les trilobites qui peuplaient les océans. Évidemment, nous avions oublié de préciser que la Reine Chèvre possède des branchies et des pagaies imbriquées dans son anus, ce qui lui permet de se propulser sous l'eau à l'aide de ses pets. Après ce détail de haute voltige, il est également pertinent d'admettre que l'on se moque bien du sens de cette histoire, puisque tout le monde sait que les chèvres et les trilobites n'ont pas vécu à la même époque, sauf que le système historique est un concept humain, ce qui fait que l'on se fout de cette remarque, et qu'on reprend au fond de l'océan. Avec ses sirènes et les jolies basaltes roulants qui font des bulles en lâchant des flatulences sous l'eau. Les sirènes, bien sûr, car les basaltes n'ont pas d'anus puisque se sont des roches, et donc pas vraiment un personnage digne de mention. Toutefois, comparés aux granites, qui possèdent bien sûr un anus dans les rêves les plus fous des Weasley, ils ne peuvent pas chier. Pour continuer avec grande classe, un dauphin portant un complet cravate rayé de vert et jaune, donc qui n'a aucun sens du goût du moins défini selon les standards des oies schizophrènes...

Il était une fois une oie avec un trouble de la personnalité et qui se prenait pour un canard. Du coup, comme on est un forum très inclusif on va l'appeler Itwalacapula, puisque sa patrie d'origine est l'Italie. Car Itwalacapula, c'est de l'italien, qui veut dire Schizophrène. Et la maladie mentale, c'est caca pour celui qui en est atteint, vous voyez? Alors un jour, cette oie fit la découverte des homoncules, ce qui est toujours très utile pour un canard parce que, franchement, qui n'aime pas tomber face à face avec un homoncule, par beau jour de mois de mai, hein? Je me le demande! En tout cas, en ce qui concernait Itwalacapula, c'était évident que ce n'était pas une réelle corvée. Alors, progressant de sa démarche clopinant, l'oie se pavanait la tête haute, tel un cygne gracieux. Tous ces noms d'oiseaux commençant à être confus, il est tout de même heureux qu'elle ne se prenne pas pour un autre animal, car sinon elle pourrait se prendre pour un poisson et se noyer stupidement ou encore courir derrière un chat qui l'attaquerait et mourir, mettant ainsi fin prématurément à notre histoire, ce qui serait dommage vu son grand intérêt.

Donc, notre oie-canard survivra pour l'instant, du moins tant qu'on en décidera ainsi, car l'heure n'est pas encore venue de la faire rôtir! Donc notre oie rencontra soudainement une licorne rose à paillettes qui s'appelait Thelma. Thelma, en voyant notre oie, s'exclama : Oh, mais tu ressembles beaucoup à un ornithorynque! Il faut dire qu'elle était myope et un peu bête car tout le monde sait que les ornithorynque ne savent pas voler. Raison pour laquelle notre oie commença à cancaner comme un canard, histoire de se payer la tête de cette myope licorne jusqu'au bout! Cette dernière, d'ailleurs, n'était pas une simple licorne semi-aveugle! Elle était également une extraordinaire danseuse de ballet, reconnue mondialement. Kiki la tourbillonneuse, qu'on la surnommait! Lorsqu'elle se mettait à danser, elle tournait, tournait, tournait, puis cela déclenchait une tempête phénoménale qui détruisait tout sur son passage. Parce que, somme toute, malgré ses airs de rien, Kiki la tourbillonneuse était une véritable créature dangereuse. Est-ce que l'oie-canard s'en doutait? Il n'y avait plus une minute à perdre, il fallait se mettre à l'abri avant que la licorne-tempête ne décide de batifoler au gré du vent et tout détruire sur son passage!

L'oie-canard prit son courage à deux mains et déguerpit aussitôt, ne s'envolant pas à tire d'ailes car en réalité, une de ses ailes est plus courte que l'autre, ce qui implique donc un grave déséquilibre la faisant tourner sans cesse en rond. Heureusement, la licorne-tempête, qui tournait dans l'autre sens, parvint à couper le cyclone qu'aurait fini par créer Itwalacapula à force de tourner de la sorte... Profitant de la confusion très confusante du moment, l'oie-canard qui ne savait plus trop où elle en était (à l'instar de la personne qui écrit ces lignes, en fait...) se jeta dans une marre tout près et y enfonça sa tête Sauf que c'était une marre d'acide formique, c'est à dire une mare tout plein de fourmis mortes, et l'oie-canard était terriblement allergique aux fourmis, donc sa tête se mit à gonfler, gonfler, si bien que son corps ne pouvait plus en supporter le poids et que la tête explosa. Heureusement, chez les oies-canards, la cervelle est si petite que ça fait peu de dégâts, lui permettant ainsi de pouvoir galoper dans les parages et ce, malgré l'absence de ce renflement cérébral d'ordinaire si nécessaire à la vie. Pendant ce temps, Kiki la tourbillonneuse dansait toujours, semant la destruction dans un espace heureusement limité, puisqu'elle tournait sur elle-même, ce qui limita la portée de la projection des morceaux de cranes d'Itwalacapula. D'autant plus que ces morceaux étaient finalement plutôt mous, et ressemblaient vaguement à de la gelée de fraises.

Toujours est-il que cette histoire tourne de façon totalement inattendue et un brin violente, bien qu'appétissante avec cette histoire de gelée de fraise, et qu'il est plus que temps qu'on y ajoute des personnages. Par exemple un mouton à cinq pattes, qui lâche un pet en passant par là, ce qui est très classe et producteur de méthane, et totalement inutile à l'histoire puisqu'il partit aussitôt pour laisser la place à un mouton à trois pattes. C'est celui qui s'était fait voler sa quatrième patte par le mouton avare à cinq pattes, raison pour laquelle celui-ci le poursuivait et quitta donc notre histoire aussi vite qu'il était arrivé. Ce qui implique qu'il nous faut encore un nouveau larron, parce qu'une licorne qui tourne et une oie sans tête ça manque d'idées, ce qui nous pousserait à choisir quelque chose qui peut être inspirant, comme par exemple un dé à 21 faces, vu que ça n'existe pas vraiment, et que ce n'est pas vraiment un personnage non plus. En même temps si en plus on est difficile dans le délire, ça ne finira plus comme situation, alors aussi bien continuer sur un truc sans queue ni tête, vu que de toute façon le but est juste de gagner des gallions, mais ça serait bien si on était plus à participer, histoire de faire de la variété, comme introduire un nouveau PERSONNAGE que n'importe qui d'autre que moi peut proposer bien sûr, parce qu'on sait bien que les GRYFFONDOR manquent d'imagination, la preuve étant que les Serpentard ont proposé plein de personnages mais qui ne plaisent pas, parce qu'ils sont nuls. Et qu'ils ne savent pas respecter les règles du jeu, visiblement, heureusement qu'il y a toujours une Poufsouffle pour les reprendre, ces verts! Même si je ne vois pas du tout de quoi tu parles, et on va donc passer à autre chose.

Une fée, qui passait par là, se mit à tourbillonner sur elle-même, mais dans le sens inverse de Kiki, ce qui commença à provoquer un courant d'air violent, qui contra la violence de celui de la licorne myope provoquant de fait un début d'ouragan, qui fit disparaître les restants de morceaux d'oie-canard. La voie ainsi libérée, une licorne apparue, et envoya paître Kiki la tourbillonneuse, car cette dernière était connue pour être une conne, au sein de la communauté licornesque. Furax, cette dernière licorne fit un doigt d'honneur, ce qui manque grandement de politesse et de savoir vivre, tant et si bien que l'escouade anti-méchanceté débarqua immédiatement sur les lieux du crime. Une fois embarquée, il ne nous restait plus qu'à parler de la météo d'aujourd'hui, bien entendu, Aujourd'hui le temps tourne à l'orage après une longue semaine de soleil et de chaleur et désormais il y a une alternance de soleil et d'orage, et on s'en va où en fait avec tout ça? Sans doute vers le prochain bulletin de fin d'année de l'école des licornes, qui permet de déterminer quelle couleur elles ont obtenu à leur évaluation des arc-en-ciel du bonheur. Ce qui est important, sauf que le nuancier fait que l'évaluateur, étant en plus daltonien et, surtout, se moquant éperdument de ce système de notation incompréhensible et inutilisable tout ce beau monde s'est en allé vers le monde magique des licornes. Ce qui fait que l'on se retrouve à nouveau à devoir inventer, mais un décor plutôt que des personnages, puisqu'on monte vers le ciel sauf qu'il contient rien de spécial le ciel, et du coup tout le monde s'est mit à tomber vers le sol, déçus de ne pas trouver le monde magique. En même temps tout le monde sait bien que les licornes volent, donc la chute était plutôt une sorte de vol plané, du moins dans la zone qui contenait de l'air, car elles survolèrent bientôt un volcan en irruption, où l'air était irrespirable.

Heureusement, du fait de la poussée montante de l'air chaud, elles purent s'envoler plus haut, et heurter un avion en plein vol, ce qui le déstabilisa et le fit piquer droit vers le sol, plongeant directement vers l'océan, où une horde de requins les attendaient, gueule ouverte, mais seulement parce qu'ils étaient étonnés de voir de telles choses retomber vers l'océan, et comme c'étaient des requins véganes, ils ne voulaient pas les manger. Toutefois, les licornes allaient tout de même finir par tomber au niveau de l'eau, et si les requins ne les attrapèrent pas pour les bouffer, les piranhas, eux, n'allaient pas non plus s'attaquer aux licornes contrairement à la légende urbaine, et c'était donc la mort par noyade qui attendait les créatures magiques. Sauf qu'étrangement, quand elles tombèrent dans l'eau, des sortes de bulles-casques apparurent autour de leurs têtes, et cela leur permis de flotter, et même de s'envoler à nouveau, défiant la gravité.

S'envoyant à nouveau en l'air, les licornes se mirent à s'entrechoquer les unes aux autres, n'ayant aucun contrôle sur leur vol, ce qui n'était pas si grave puisqu'il s'agissait d'une des manières possibles pour elles de s'entretuer à coups de cornes dans les flans. Mais ce n'était pas grave, car de toute façon elles ne pouvaient pas vraiment mourir, seulement se vider de leur sang dans d'atroces souffrances et de très nombreux arc-en-ciel, ce qui expliquait que le ciel se rempli de multiples couleurs, qui aveuglèrent tous ceux qui le regardait. C'est pourquoi Dindon le phoque, qui était aveugle, se retrouva avec plusieurs amis non-voyants, contre lesquels il ne cessait de se butter stupidement, parce que c'était leur façon de se saluer, vu qu'ils se percevaient entre eux avec d'autre sens. Dindon fit donc la connaissance de Fromage, la souris, qui se percevait par un autre sens que le toucher, à savoir l'odorat, car son nom n'est pas lié au régime alimentaire, mais bien au parfum de ses pieds. Ce qui était encore plus fort puisque ses chaussettes aussi étaient remplies de moisissures, ce qui était un matelas confortable, toutefois rempli de bestioles dégoûtantes. Bestioles qui attirait en revanche les poissons, et surtout les piranhas, qui feraient bientôt un buffet avec les bestioles, puisqu'ils doivent bien manger eux aussi, comme n'importe quel poisson. L'eau se colora bientôt du sang de leurs victimes, ce qui étant blanc/verdâtre, passa inaperçu, et du coup se carnage sombra dans l'oubli.

Ce qui nous entraina donc à recommencer, dans un tout autre lieu, voire un autre monde, pourquoi pas, histoire de pouvoir y incorporer toutes sortes de créatures bizarres et loufoques, comme une chèvre de 15 centimètres, avec 27 pattes et 7 yeux, qui sait danser la gigue et la Marioca, tout en sifflant un air de Noël. Bien sûr, cela implique que Noël existe aussi dans son monde, impliquant donc que quelqu'un a un jour traversé les univers pour partager notre culture aux chèvres de 15 centimètres. Ce qui explique l'existence de ce warp sans queue ni tête, comme tout le reste de notre histoire, mais n'est ce pas le but ? Du coup, tant qu'à être absurde, précisons que notre chèvre qui provient d'une autre dimension était la Reine de son territoire, menant de patte de maître tous les trilobites qui peuplaient les océans. Évidemment, nous avions oublié de préciser que la Reine Chèvre possède des branchies et des pagaies imbriquées dans son anus, ce qui lui permet de se propulser sous l'eau à l'aide de ses pets. Après ce détail de haute voltige, il est également pertinent d'admettre que l'on se moque bien du sens de cette histoire, puisque tout le monde sait que les chèvres et les trilobites n'ont pas vécu à la même époque, sauf que le système historique est un concept humain, ce qui fait que l'on se fout de cette remarque, et qu'on reprend au fond de l'océan. Avec ses sirènes et les jolies basaltes roulants qui font des bulles en lâchant des flatulences sous l'eau. Les sirènes, bien sûr, car les basaltes n'ont pas d'anus puisque se sont des roches, et donc pas vraiment un personnage digne de mention. Toutefois, comparés aux granites, qui possèdent bien sûr un anus dans les rêves les plus fous des Weasley, ils ne peuvent pas chier. Pour continuer avec grande classe, un dauphin portant un complet cravate rayé de vert et jaune, donc qui n'a aucun sens du goût du moins défini selon les standards des oies schizophrènes d'origine québecoise...