Dévoué - Loyal - Fidèle - Solitaire - Méfiant - Agoraphobe

PHYSIQUE :

Si à priori nous pourrions nous attendre à une description physique typique des hommes des bois, Ryland n’a pas forcément la dégaine d’un mâle à l’hygiène douteuse et à la barbe hirsute. Bien qu’il n’accorde que peu d’importance à l’apparence et à la finesse des tenues, l’homme de 32 ans prend minimalement soin de sa personne au quotidien. Ainsi, sa longue tignasse platine est régulièrement attachée derrière sa tête afin de dégager son visage (et de lui donner des airs civilisés) et les fois où il la laisse couler sur ses épaules telle une rivière de neige sont plutôt rares. Son faciès aux traits réguliers et carrés arbore une teinte d’épiderme plutôt claire et une barbe de quelques jours, tout au plus. Au milieu de ce visage dans la fleur de l’âge trônent deux yeux brillants d’une couleur étonnamment ambrée. Si ce trait attire souvent l’attention de ses interlocuteurs, Ryland ne connaît pas vraiment l’origine de cette couleur, laquelle ne découle ni de sa défunte mère ni de son hypocrite de père... Peut-être de sa grand-mère maternelle originaire de Norvège? En fait, ses origines lointaines nordiques expliquent majoritairement son apparence presque typique des peuples scandinaves, lesquels sont si peu appréciés en cette époque trouble. Après tout, être viking (même de loin) n'est jamais synonyme d'appréciation et avec raison. Bref...

Plutôt grand, l’homme surpasse certains de ses compatriotes de plusieurs centimètres. Sa carrure solide témoigne en elle seule de ses nombreuses années où il a servi l’armée anglo-saxonne moldue, à la fois par envie de découvrir ce monde sans magie qui le fascinait tant, que pour faire un pied de nez à son paternel qui cultivait (et c’est toujours le cas en fait) un mépris sans fondement pour les êtres non magiques. Ainsi, le sorcier de sang pur possède une musculature indéniable et sait manier l’épée, le bouclier et l’arc avec une efficacité surprenante. Enfin... si ces derniers ne lui servent que très peu depuis son retour dans l’univers magique (sauf l’arc qu’il trimballe tout le temps avec lui lorsqu’il erre dans la forêt), il garde néanmoins ces derniers dans sa chaumière, bien fixés au mur... sait-on jamais.

En ce qui concerne ses tenues, Eden refuse catégoriquement d’enfiler des accoutrements typiquement sorciers. Loin de lui les robes noires et autres habits encombrants! Il préfère les tuniques ajustées qui n’encombrent pas ses mouvements et de solides bottes en cuir confortables qui peuvent le mener où il veut en protégeant ses pieds. N’est-ce pas leur but premier, d’ailleurs? Lors de ses nombreuses escapades en forêt, Eden aime aussi porter un plastron de cuir clouté, histoire de protéger son thorax lors d’attaques potentielles de créatures ou d’êtres résidants en ces lieux parfois sombres et denses. Oh et petit détail : il porte toujours au cou un médaillon orné d'une tête de loup, lequel appartenait à sa mère, hérité de ses ancêtres norvégiens.

À la grande surprise de plusieurs, Eden possède également un don d’animagus. Ainsi, lorsqu’il utilise le sortilège adéquat, l’homme de 32 ans revêt l’apparence d’un ours grizzly costaud. S’il reste en contrôle de lui-même lorsqu’il parcourt la forêt sous son apparence bestiale, il lui arrive encore parfois (lorsqu’il ressent des émotions fortes) de ressentir l’appel instinctif de la bête. Il craint parfois, lors de ces moments d’égarement, de perdre le contrôle de lui-même, si bien qu’il a convenu avec Rowena Serdaigle qu’il n’userait jamais de son don dans les limites de Poudlard ou lorsqu’il serait en contact avec des élèves.


CARACTÈRE :

Par son rôle au sein de Poudlard, il est plutôt évident qu’Eden est en général un homme plutôt solitaire. Bien qu’on ne puisse pas le qualifier d’antisocial, il préfère nettement la quiétude de la forêt que le brouhaha de la grande salle bondée du château. D’un naturel plutôt calme et posé, il est plutôt compliqué de pousser Ryland à sortir de ses gonds. À priori, on pourrait même croire qu’il se fout un peu de tout et de tout le monde! Bien sûr, c’est à tort que l’on pourrait croire qu’il se considère au-dessus de tous... seulement, il n’a généralement pas envie de perdre son temps et ses énergies dans des conflits qu’il considère, la majorité du temps, ridicules.

Malgré tout, Eden apprécie les soirées arrosées avec les quelques personnes qu’il considère comme ses amis. Compagnon fidèle et loyal, il se donnera corps et âme pour des causes qu’il considère justes, surtout si c’est pour venir en aide aux gens qu’il aime. Fervent amateur de la faune et de la flore, il aime les longues balades en forêt et les créatures qui la peuplent. Ainsi, c’est tout naturellement qu’il s’est proposé pour assister l’enseignant attitré aux soins des créatures magiques. Certes, il n’enseigne aucune matière, mais il ne daigne jamais s’impliquer dans les tâches et les corvées en lien avec les animaux ou créatures fantastiques. Il est d’une patience d’or avec eux, bien plus qu’avec les élèves, en fait. D’ailleurs, ses connaissances dans le domaine de la botanique et de la faune (magiques ou pas) sont indéniables (lesquelles ont été acquises par expérience plus que par enseignement), bien qu'il ne s'impose jamais, laissant les recommandations aux experts attitrés.

Bien qu’il réside seul dans sa chaumière, Eden partage son quotidien avec un petit cabot non magique qu’il a trouvé par hasard il y a deux ans. De race beagle et nommé Stanley, l’animal l’accompagne partout où il est possible pour lui d’aller.

En résumé, Ryland est un homme travaillant, loyal, fidèle et préférant la simplicité et la tranquillité à la vie mondaine des cités. Peut-être pouvons-nous le considérer comme atteint d’une forme d’agoraphobie? Incorrigible gourmand, il aime beaucoup trop la nourriture pour ne pas savoir la cuisiner, bien qu’il ne puisse jamais rivaliser avec les incroyables cuisiniers(ères) de Poudlard. Le gagner par le ventre est chose aisée, devons-nous le préciser...

Oh et fait notable... Il est fiancé à une femme qu’il ne connaît pas, à son grand dam. Une fille d’une riche famille d’Irlande, il paraît... C’est récent et totalement imposé par son père... En est-il heureux? Absolument pas.

L’été tirait à sa fin. Une épaisse brume nocturne se dissipait tranquillement alors que les rayons dorés du soleil réchauffaient la végétation encore humide de la forêt où se trouvait la chaumière de Ryland. Une odeur de feuilles et de terre détrempée envahissait l’air, le tout ponctué d’un subtil arôme d’épines de sapin. Des effluves typiquement forestiers qu’appréciait tant le garde-chasse. La tranquillité des lieux était indéniable, uniquement interrompue momentanément par le chant des oiseaux ou par la déambulation de quelques daims passant dans le coin. Assis à l’extérieur de sa chaumière, Eden nettoyait le résultat d’une cueillette de fruits sauvages à l’intérieur d’une bassine d’eau claire. Les manches de sa tunique noire étaient roulées jusqu’au-dessus de ses coudes et le clapotis de l’eau se répercutait sur les arbres des environs comme un écho. La chaleur humide estivale battait déjà son plein alors qu’une vague de hautes températures peu communes frappait la région. Essuyant son front du revers de son avant-bras, Eden jeta un œil tout autour, réalisant alors que son compagnon des deux dernières années brillait par son absence. Sourcils froncés, l’ancien soldat de l’armée anglo-saxonne porta une main à sa bouche, puis émit un sifflement strident, lequel se répercuta dans les environs sans le moindre mal.

Les secondes passèrent, puis un bruissement typique se fit entendre. Immédiatement rassuré, l’homme à la chevelure platine se remit à la tâche, transférant ses baies et autres récoltes maintenant propres dans un panier d’osier, tout près de lui. Curieux, le chien de type beagle vint renifler l’encas de son maître, mais ne s’y attarda que très peu, les fruits n’étant pas une source de nourriture appréciable à ses yeux.

- T’inquiète, j’ai un truc pour toi, Stanley... fit-il en direction du cabot de petite taille, sourire en coin au visage. Ce n’est pas ce matin que tu auras le ventre vide, crois-moi...

Reprenant sa tâche afin de terminer de nettoyer l’ensemble de sa récolte, l’homme forestier chantonnait tout bas une mélodie typique de son enfance quand les aboiements de son compagnon canin se firent entendre. Interloqué, Ryland releva son regard ambré et avisa le chemin de terre battue qui menait vers la partie non boisée de cette région des Highlands, laquelle dominait assurément le paysage de cette partie de la haute Écosse. Il ne fallait que quelques minutes de marche pour atteindre la limite forestière tout au nord et encore quelques minutes pour atteindre le domaine de Poudlard, l’école d’enseignement magique fondée il y a quelques années par quatre compatriotes sorciers qu’il avait appris à connaître, au fil du temps. Inutile de préciser que le chemin se parcourait aisément à pas d’Homme.

D’ailleurs, en parlant de Poudlard, Eden pouvait reconnaître cette silhouette gracile n’importe où, laquelle se dirigeait vers eux, accueillie par un cabot maintenant surexcité qui courait en sa direction. Se déplaçant avec la grâce d’un cygne, la tête haute à la coiffure soigneusement remontée (après tout, avec cette chaleur, qui pourrait lui en vouloir?), sempiternel diadème d’argent en guise de couvre-chef, Rowena Serdaigle se dirigeait vers l’humble chaumière du gardien des clés et des lieux de Poudlard. Certes, son faciès conservait cet air neutre qui lui était tant caractéristique, mais une légère lueur au fond de son regard pétillant d’intelligence laissant entendre à une forme de contentement; elle était assurément heureuse de le voir là, dans son humble domaine.

C’était lui où elle était presque guillerette ce matin? Cette simple pensée goguenarde fit sourire Ryland qui détailla la nouvelle venue, mains sur les hanches.

- Voilà de la belle visite, ce matin! Déclara-t-il en sa direction, alors qu’elle arrivait tranquillement à sa hauteur. Tu as mangé? J’allais me préparer quelque chose. Je vais préparer du thé.

Parce que toute visite de Serdaigle se devait d’être accompagnée d’un thé, nonobstant la température. Il n’avait pas besoin d’en dire davantage, Rowena savait qu’elle était la bienvenue de toute façon. Leur amitié remontait d’ailleurs à quelques années, plus précisément à ce moment fatidique, alors qu’il débutait à peine la vingtaine, où il avait fait la rencontre fortuite d’une femme terrorisée et en fuite avec son poupon au milieu de la forêt, au nord de l’ancienne contrée du Wessex, maintenant en partie unifiée sous le nom d’Angleterre... À cette époque, ce que Rowena ne savait pas, c’était que malgré son ascendance sorcière de sang pur, Eden servait de manière terriblement moldue dans l’armée anglo-saxonne (laquelle était tout aussi terriblement moldue), d’abord sous le très court règne d’Edouard dit « Le Martyr », puis d’Aethelred dit « Le Malavisé ». Si à priori nous avions pu croire que ces 5 années de servitude étaient d’une inutilité effarante (de 17 ans à 22 ans), il fallait savoir qu’à la base de tout... il s’était engagé par simple rébellion et par envie flagrante de faire un pied de nez à son nobliau de père pour qui il vouait autant de respect qu’à une bouse de vache. Fils cadet d’une famille de 3 enfants toujours vivants, Eden n’en avait rien à faire de la haute société (enfin... sa famille n’était pas dans les SI hautes sphères non plus...), de l’héritage et autres merdes du genre. Son paternel vouant un mépris à peine dissimulé envers les moldus, Eden s’était fait un plaisir de s’enrôler afin de le faire enrager au maximum. Et puis, depuis la mort de sa mère, décédée d’une pneumonie sévère qui n’avait pu être soignée, Ryland considérait qu’il n’y avait plus rien pour le retenir à l’intérieur des limites familiales... Il fallait dire que sa relation avec ses frères était d’une fade neutralité, alors il ne se sentait pas particulièrement attaché à eux... Bref, après cette longue digression, au moment de leur rencontre fortuite, Eden profitait de l’une de ses rares journées de congé pour se rendre en forêt, un endroit qu’il appréciait plus que tout. Désireux d’y chasser le daim, il tomba malgré lui sur une bien curieuse biche... À voir sa dégaine de voyageuse empoussiérée par son errance et ce jeune rejeton qu’elle serrait contre son cœur, le jeune Eden avait rapidement compris qu’il avait à faire à une fugitive. Si la méfiance avait été naturellement au rendez-vous de la part de la jeune femme à la chevelure corbeau, les deux individus avaient bien compris qu’ils appartenaient au même camp d’origine : celui des sorciers. Ryland avait rapidement saisi que sa compagne avait probablement été persécutée, surtout à voir le désespoir qui l’envahissait quand elle mentionna ce refuge qu’elle tentait de rejoindre, tout au nord. Allez savoir pourquoi, une connexion naturelle se forma entre eux. Le jeune sorcier rebelle décida de simplement abandonner son poste de soldat sans d’autres préavis, désireux d’aider Rowena dans sa quête de terre promise.

Le claquement de la porte de bois indiqua à Serdaigle que l’homme de la forêt revenait auprès d’elle. Déposant une bouilloire fumante et deux gobelets, l’homme aux origines lointaines scandinaves posa également un plateau de bois sur lequel trônaient les fruits préalablement cueillis, une miche de pain, du beurre salé et un fromage. Assis à même le portique de bois, les deux amis trinquèrent avec leur boisson chaude alors que Ryland tendait un œuf cru en direction de Stanley, accompagné d’un morceau de viande séchée.

- Helena n’a pas voulu t’accompagner? Fit-il avec un sourire en coin. Elle grandit trop vite, cette petite... Déjà, je ne suis plus assez intéressant pour elle! Tssss! La nouvelle génération, hein?

Son sourire amusé témoignait bien de sa gentille boutade. Il adorait cette gamine, mais il comprenait bien que, à l’orée de l’adolescence, elle avait probablement autre chose à faire que de traîner en forêt avec lui et sa mère.

Un silence trôna entre les deux amis, lesquels n’en étaient en rien malaisés pour dire vrai. Ils appréciaient seulement le moment présent, comme ça leur arrivait souvent. Toutefois, Eden avait une bonne idée de la raison de la présence de Rowena à ses côtés. Enfin, s’il ne doutait en rien qu’elle souhaitait simplement sa compagnie, il fallait également préciser que cela ne faisait qu’une semaine qu’il était revenu de son périple en Angleterre. Son frère aîné étant malade (enfin, rien de grave), il avait accepté de visiter sa famille dans l’ancienne contrée du Wessex, dans une petite bourgade pas très loin de Londres. Si le domaine familial ne lui avait pas vraiment manqué, il pouvait d’ores et déjà dire que son père le dégoûtait tout autant qu’avant. Eden savait que son géniteur planifiait de le marier contre son gré, exerçant son pouvoir parental sur son cadet de fils, lequel avait toujours été un farouche récalcitrant quand venait le temps de parler de mariage. Or, cette fois, la fortune familiale ne tenait qu’à un fil. Ils menaçaient de tout perdre puisque les dots de ses belles-sœurs n’avaient pas été suffisantes pour sauver le domaine des Ryland. Et voilà que le vieux bougre lui annonçait ouvertement qu’il avait trouvé la candidate parfaite pour Eden et que les arrangements avaient déjà été conclus. Bien qu’il s’efforçât à garder son sang-froid, l’homme de 32 ans eut beaucoup de mal à ne pas éclater de colère. Il aurait bien voulu l’envoyer paître, lui et son arrangement à la con, mais son frère aîné fut celui qui réussit à le convaincre. Ils avaient besoin de sa contribution, pour le futur de la famille Ryland, mais surtout pour assurer un héritage aux enfants de ses frères aînés, lesquels, au total, étaient au compte de six. Certes, Ryland-père le répugnait... mais il avait toujours conservé des relations neutres avec sa fratrie et ne les avait jamais réellement méprisés. Les enfants, en contrepartie, ne méritaient pas d’être privés d’un futur confortable... Il avait donc accepté l’arrangement, en échange d’une simple requête : l’aîné de la famille devait reprendre les rênes du domaine, à la place du vieux débile. L’entente fut scellée... Eden avait confiance en ses frères, alors il allait tenir sa part du marché...

Mâchouillant quelques fraises des bois, Eden poussa un soupir. Il savait qu’elle attendait sans le brusquer qu’il lui parle de son périple. Pour dire vrai, s’il connaissait quelques minces branches de l’histoire de Rowena, lui, en revanche, avait été un véritable livre ouvert avec elle; elle savait absolument tout de lui, brides d’information qu’il avait partagées au fil des années. Alors, elle connaissait les intentions du paternel Ryland et espérait probablement que l’homme de 32 ans partage les dernières évolutions concernant les arrangements matrimoniaux qu’on lui réservait.

- Elle arrivera dans quelques semaines, il paraît... Balança-t-il sans préambule, sachant que Serdaigle comprendrait sa référence. Autour de l’équinoxe d’automne surement. Une fille d’Irlande, il paraît, dans la jeune vingtaine. Ce qui était tardif pour se marier, justement. Pourquoi, d’ailleurs (bien qu’il fut mal placé pour juger), était-elle toujours seule? Il se massa la nuque en un geste chargé de dépit. Je... Je ne sais pas comment me sortir de cette impasse, Row. Je me sens coincé comme un rat. La pérennité de ma famille dépend de ce mariage et je serai responsable d’elle... C’est donc ça, le mariage? Perdre sa liberté et se sentir enchaîné? Je... je sais pas, je sais plus...

Poussant un nouveau soupir, il agrippa sa tasse de thé et en prit une bonne lampée, grimaçant sous la chaleur encore fumante du breuvage. Évidemment, son amie ne pouvait être que compatissante, ayant convolé en noces par deux fois, avec des individus qu’elle n’avait pas pu apprécier (enfin, de ce qu’il avait pu capter d’elle, bien qu’il n’ait jamais posé davantage de questions à leur sujet).

Au moins, il savait qu’il pourrait compter sur son soutien, au mieux. Après, quant à sa relation avec cette jeune pimbêche de noble irlandaise, seul l’avenir lui dirait si c’était voué à la catastrophe ou pas.

Dommage qu’il ne puisse voir ce que le futur lui réservait...

Comment veux-tu qu'on t'appelle?: Sexy babe, ça le fera. Huhu!
Comment nous as-tu trouvé?: Je me suis fait harceler intensément par l’admin... *brandit une affiche SOS en silence*
Ton mot de la fin?: Les cacas de licorne, ça pue aussi...?

Pour ton information, sache que les cacas de licornes, ça sent très bon. Si tu souhaites t'informer davantage à ce sujet, je te recommande cette source incontestable en matières fécales magiques. Bonne lecture.

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